Guys, we got a problem.
Ici je parle anglais toute la journée, ou presque. (sauf en cours. Quoique si, quand je discute avec Knud ^^). Et, si je capte au passage de plus en plus de mot en chinois, on ne peut pas dire que je comprend ce qui se dit autour de moi. Mon cerveau aime beaucoup trop l'anglais. Je commence à penser en anglais, à chercher mes mots en français, et aujourd'hui j'ai quand même prononcé cette magnifique phrase destinée à Odile dans une conversation bouquin: le roman que je lis "basiquement, deale avec les troubles de la classe travailleuse".
Mates, l'heure est grave.